dimanche 20 juillet 2014

Mon 2ème conte

Dés qu'enfin il la verra. parodie de
« Dès que le vent soufflera » de Renaud


C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
Pour la sortir de sa solitude et pour voir du pays.
Elle a grandi toute seule, dans le confort sans amis,
A aider les serviteurs pour tromper son ennui.
Lorsqu'elle demande à son père si elle peut voyager,
Il lui répond qu'à l'extérieure c'est barbaries et dangers.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.

C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
De tout son être il est appelé et au fond de lui, il le sait.
Il ressent ce sentiment étrange qui souvent l'envahit,
Le besoin d'aller à la conquête de ce cœur endormi .
II sera prêt à tout affronter afin de la retrouver,
Des obstacles sur sa route ou des pièges à déjouer.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.
OH OH OH OH OH Que c'est beau... OH OH OH

C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
Car être belle ou bien riche, c'est comme tout ça a un prix.
En effet dans la vie il y a des bons et des méchants,
Tandis que les bons sont gentils, les méchants ne font pas de sentiments,
A la première occasion, ils vous poignardent à coup de fuseau,
Ils vous humilient et vous trahissent juste parce qu’ils trouvent ça rigolo.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.

C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
Qu'elle dorme, danse ou bien chante, le besoin de la trouver le tourmente.
Il l'imagine dans sa tête, son visage, son sourire,
Les mains douces qu'il caresse, tandis qu'il pousse un soupir.
Il arpente les chemins un peu songeur mais volontaire,
Prêt a trouver où sa belle demeure même si cela le mène jusqu'en enfer.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.
OH OH OH OH OH Que c'est beau... OH OH OH

C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
Pour qu'il l'emmène sur son destrier loin de sa cage dorée.
Au milieu de sa chambre, elle tourne en rond, elle attend,
En comptant les jours, les heures qui la sépare de son chevalier blanc.
Entre deux occupations, patiemment elle espère,
Qu'il la délivre de cette prison pour une vie plus prospère.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.

C'est pas le prince qui trouve la belle, c'est la belle qui attire le prince,
Pour que les enfants s'endorment, et que le conte se termine.
Le jour arriva enfin où nés à nés ils se regardèrent,
Sans une peur, ni aucun doute aussitôt ils s'embrassèrent,
Le lendemain soir venu tout le peuple fût invité,
pour festoyer et célébrer l'union des nouveaux mariés.

Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.
Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.
Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.
Dés qu'enfin il la verra, il la reconnaîtra,
Dés qu'ils se retrouveront, ils s'embrasseront.

JBL

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