samedi 12 septembre 2015

Doit-on en arriver là pour que tous les valides non respectueux comprennent ...?

Beaucoup de personnes valides ne comprennent pas que les places handicapés sont réservées pour les personnes handicapées. Doit- on en arriver à ce style de méthodes pour qu'ils comprennent?

mardi 25 août 2015

Les gens sont super ! (version handicap)

Être handicapé n’empêche pas de vivre comme tout le monde, de se faire plaisir et de mordre la vie  à pleines dents. En voici quelques exemples.




jeudi 30 juillet 2015

parodie hommage aux personnes en fauteuils.

Avoir un handicap n'est pas synonyme de fatalité ou de morosité. Voici une chanson que j'ai écrit qui j'espère le montrera.

 Comme eux comme lui. Parodie de Paparazzi_ lady gaga

 
Le weekend, en groupe on se promène, le soleil brille dans le ciel, dans les rues de la ville les gens passent tout autour, sans nous voir sur les faubourgs.
Une boutique, des chaussures, des habits cela nous fait envie, une petite marche à l'entrée me l'interdit, on force l’obstacle en poussant des cris. devant la vendeuse ébahie

Certains me voyant en fauteuil roulant croient que je suis je suis je suis meurtrie.
Pourtant je rigole, je sors, je fais la folle mais si, comme toi, comme eux, comme lui.
Viens et tu verra, qu'il y a beaucoup de cas similaires à moi.
Ignores les préjugés, constates plutôt les faits, je suis comme toi, comme eux comme lui.

Il est vrai, que lorsque l'on sait, que beaucoup d'endroits, sont mal adaptés aux personnes handicapées, on voudrait se révolter.
Pourtant, si on en fait abstraction, qu'on ne songe qu'au présent, on peut alors constater que notre quotidien, lui n'est pas si différent. Croquons le à pleines dents.

Certains me voyant en fauteuil roulant croient que je suis je suis je suis meurtrie.
Pourtant je rigole, je sors, je fais la folle mais si, comme toi, comme eux, comme lui.
Viens et tu verra, qu'il y a beaucoup de cas similaires à moi.
Ignores les préjugés, constates plutôt les faits, je suis comme toi, comme eux comme lui.

Je profite de la vie et de ses bienfaits, je me fiche de ce qui me manque, je regardes ce que j'ai. A quoi bons les lamentations, autant s'éclater à chaque instant.

Certains me voyant en fauteuil roulant croient que je suis je suis je suis meurtrie.
Pourtant je rigole, je sors, je fais la folle mais si, comme toi, comme eux, comme lui.
Viens et tu verra, qu'il y a beaucoup de cas similaires à moi.
Ignores les préjugés, constates plutôt les faits, je suis comme toi, comme eux comme lui.

Fin juillet 2014

JBL



mardi 28 juillet 2015

film à voir


Voici un film très drôle prouvant que le handicap est un frein lorsque l'on le croit soit même. Evidemment je ne parle pas de l’handicape physique confronté à environnement.

dimanche 26 juillet 2015

Lomme: Jean-Baptiste, 27 ans, traversera la France en fauteuil roulant










 

Jean-Baptiste prépare déjà son périple à travers la France, départ prévu en mai 2016.

À 27 ans, Jean-Baptiste Gave, résident à Humanicité et originaire de Clary (près de Cambrai) rêve d’aventures et de liberté. Ce n’est pas sa maladie, la myopathie, qui l’arrêtera. Il prépare déjà son départ, prévu dans un an, pour un périple de 2000km.
Voilà près de trois ans qu’il est installé au cœur d’Humanicité. Au foyer Hélène-Borel, tout est prévu pour qu’il se débrouille seul : les portes, ascenseur, volets et même la télévision répondent au son de sa voix. Jean-Baptiste l’avoue, il est bien installé. C’est surtout le cinéma Kinepolis, situé non loin de là, qui l’a convaincu de venir vivre ici. Dans le quartier, le jeune homme est toujours actif, il joue à la boccia, discipline paralympique, cousine de la pétanque, il rédige régulièrement une newsletter sur le quartier.
Il n’empêche, Jean-Baptiste a la bougeotte, « J’ai toujours rêvé de me lancer d’un point A à un point B, faute d’appui, je n’osais pas. Un copain de mon frère a entendu parler de mon projet : traverser la France. Il a trouvé ça génial et a décidé de m’aider en imprimant un flyer ! » Le grand départ est prévu dans un an, mais Jean-Baptiste bosse déjà, presque à temps plein, avec une rigueur professionnelle, et pour cause : il a fait des études de comptabilité. Sur un tableur, il a répertorié toutes ses étapes, de ville en ville : près de 22 km par jours, pendant trois mois. « J’ai essayé de trouver des routes accessibles pour moi, avec des pistes cyclables. Tout le long du trajet, un camping-car médicalisé me suivra. »
« Cette aventure me permettra de montrer plusieurs choses : déjà les problèmes d’accessibilités dans les villes et villages de France où je ferai étape. Et surtout, qu’on est capable de faire de grandes choses dans un fauteuil. »

Roue libre

La myopathie de Duchenne dont est atteint Jean-Baptiste est une maladie génétique qui provoque une dégénérescence du muscle. Jean-Baptiste a marché jusqu’à l’âge de 10 ans, dans un an il roulera pour aider la recherche.
Pour financer le voyage – le camping-car surtout – Jean-Baptiste va avoir besoin d’un bon coup de pouce financier. Alors, afin d’obtenir de sérieux sponsors il va créer son association : Roue libre. Ce vendredi 24 juillet à 19 h30, au foyer Hélène-Borel, ses amis, la direction de la maison et des voisins seront présents pour le lancement officiel. « Toutes les personnes motivées par le projet sont aussi, bienvenues », ajoute Jean-Baptiste.
PAR AGATHE VILLEMAGNE

jeudi 23 juillet 2015

Cachez ces handicapés qu’on ne saurait voir !


Cachez ces handicapés qu’on ne saurait voir !
"Sommes-nous devenus si insensibles au sort de l’autre que de telles pratiques d’exclusion nous paraissent si peu dignes d’intérêt et ne déclenchent chez nous ni révolte ni cris de fureur ?

Une société moderne se juge à la façon dont elle traite ses êtres les plus démunis, les plus faibles ou les moins à même de se débrouiller dans leurs vies quotidiennes.
Ni plus, ni moins.

Qu’on se le dise, les personnes handicapées ne sont ni des citoyens de seconde zone, ni des poids morts condamnés à vivre dans le huis-clos de leur habitation.

C’est à nous, à notre mode de vie, à s’adapter à elles et non pas le contraire.
Nous sommes tous des handicapés en puissance. »